Une nuit paisible.

Il faisait nuit. Une nuit noir, et silencieuse. On arrivait quand même à distinguer, à travers les hautes herbes une ombre qui marchait. Abyss se promenait dans la prairie. C'était son premier jour dans la pension, ou plutôt sa première nuit. Peu de temps avant, elle avait fait un tour vers le hall pour remplir les papiers d'inscriptions, discrètement, et était partie pour un endroit tranquille. Elle avait ensuite choisi la prairie parce-qu'elle pouvait être presque certaine que personne ne s'y aventurerait, surtout la nuit. La jeune fille de quatorze ans n'avait pas peur de trébucher ou de se cogner, car grâce à ce qu'elle était, elle avait une vue très développé et elle voyait presque aussi bien que quand t-il faisait jour. Elle se sentait bien ici, il n'y avait personne, elle était seul avec ses pensées...enfin..si on peut dire que la voix fait partie de ses pensées. Donc, elle était là dans la prairie, elle aurait très bien pu visitez le bâtiment dans lequel elle allait passer ses prochaine année, faire connaissance, mais elle ne voulait pas, elle n'aimait pas la compagnie, à vrai dire elle détestait tous les pensionnaires. Pourquoi? Pourtant ils ne lui avaient jamais rien fait. En vérité elle détestait tous le onde sur cette planète. Et oui, elle était comme ça, à haïr pour un rien juste parce-que elle a beaucoup souffert auparavant. Elle s'essaya par terre. Maintenant on ne voyait même plus le sommet de son crâne, l'herbe était trop haute. Tu as attendu?! fit une voix qui résonna dans sa tête accompagné d'un bruit de grelot. Abyss se releva, avec souplesse et discrétion, elle était sur de n'avoir fait aucun bruit. Elle prit ses deux poignard en guettant le moindre bruit. C'était un réflexe, si quelqu'un s'approcherait il serait de suite égorgée.
La voix ne s'était pas trompée, il y avait bien quelqu'un qui s'approchait. Elle vit une lumière, une lumière orangé qui accompagné la personne.

-Qui es là? Fit-elle d'une voix froide.

Elle n'était plus dans sa position de garde comme il y a quelques instant mais tenait toujours ses deux poignard et d'un moment à l'autre elle pouvait se mettre à l'attaque.